“2017 doit être l’année du 0,7

Ce début de 21e siècle semble marqué par la peur de l’avenir et la peur de l’autre. Cette même peur qui amène si souvent à l’exclusion, au rejet et au repli sur soi.

Ici, nous sommes tout l’inverse. Nous sommes l’entraide, le partage et l’envie. Nous sommes le Printemps Solidaire.

L’heure est venue de se tourner vers l’autre, celui qui occupe avec nous la seule maison dont nous disposons. L’heure est venue de comprendre que ses difficultés sont aussi les nôtres : l’inégale répartition des richesses, le drame des familles qui fuient leurs pays et se heurtent mortellement aux rivages de l’Europe, la faim, les ravages des pandémies, les conflits, les dérèglements climatiques. L’heure est venue pour la France de tenir enfin sa promesse du 0,7% de la richesse nationale allouée au développement des pays les pauvres. Nos destins sont liés dans un monde que nous avons en partage.

Alors, ne laissons pas les pessimistes, les extrémistes, les populistes décider seuls des enjeux du monde de demain. Entretenons un vent frais, un souffle nouveau d’optimisme, de générosité, de fraternité dans une période qui en manque tant.

Soyons les acteurs enthousiastes et convaincus du Printemps solidaire

Luc Barruet

Porte-parole de Printemps Solidaire

Faire de la solidarité un enjeu politique

Il n’y a pas de futur sans entraide

Dans un monde chaque jour plus étroit, plus peuplé, plus connecté, il n’y a pas d’avenir dans l’isolement, pas de futur sans entraide, pas de succès sans solidarité. Le bonheur, le progrès, le sens que chacun veut donner à son existence, ne peuvent naître de l’égoïsme, du repli sur soi et de l’indifférence à l’égard du monde.

Non au populisme et au repli sur soi

Les murs érigés pour fermer les yeux sur la détresse humaine, la peur de l’autre présentée comme un remède par les populistes, nous n’en voulons pas. Cet avenir-là, nous le croyons, est diamétralement opposé aux aspirations de millions de Français et notamment des jeunes. La jeunesse d’aujourd’hui est ouverte sur le monde et soucieuse de lutter contre les inégalités. Elle est profondément attachée au principe d’une « solidarité sans frontières » et juge nécessaire l’aide de la France aux pays les plus pauvres. Avec Printemps Solidaire, les jeunes s’invitent à l’agenda électoral pour défendre une France ouverte sur le monde et sur les autres.