Avec le vote du budget 2018, la France a l’occasion de renouer avec les objectifs internationaux indispensables à lutte contre la pauvreté, les inégalités et le changement climatique.
L’aide publique au développement (APD) est un outil essentiel pour favoriser l’accès à la santé, à l’éducation ou à l’eau potable pour les populations les plus vulnérables. L’APD permet également aux pays les plus pauvres de faire face à des bouleversements majeurs, crises humanitaires, politiques ou conséquences du dérèglement climatique. Elle permet aussi de renforcer le pouvoir des citoyens et de lutter contre la corruption.
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Grâce à l’aide publique au développement, depuis 20 ans* :
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La France a un rôle à jouer
Nous avons une mission : le 0,7. Depuis 1970, la France ne tient pas sa promesse d’allouer 0,7% de son budget à l’aide publique au développement… Et nous en sommes encore très loin puisque nous sommes aujourd’hui à 0,38%, quand la Norvège y consacre proportionnellement 3 fois plus. Le Royaume-Uni a atteint cet objectif depuis 2013 et l’a inscrit dans la loi. L’Allemagne l’a aussi atteint en 2016. Nous devons prendre exemple sur eux !
Ce n’est pas le moment de baisser les bras : nos député.e.s doivent être conscient.e.s de l’urgence et voter en faveur d'une augmentation de l’APD lors du budget 2018. Invitez-les à être à la hauteur de cet enjeu sur https://www.mercidavance.org. En leur disant #MERCIDAVANCE, vous les engagez à manifester leur attachement aux valeurs de solidarité et à prendre leurs responsabilités. Le 0,7 est un investissement pour l’avenir. En le défendant, nous aspirons à une mondialisation plus heureuse, un monde plus sûr, et on l’espère plus apaisé.
*sources : Action Santé Mondiale, ONE France et Oxfam France
Crédit photo : ©UN Photo Albert González Farran / ©UN Photo Harandane Dicko
